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Joe le taxi tu peux aller au paradis

JOE le taxi tu n’étais vraiment rien par rapport à lui Si je me souviens des paroles non rien par rapport à lui Toi tu souriais apparemment tu t’en foutais Pas lui Et Vanessa Paradis peut maintenant bien dormir Elle ne connait rien de lui Joe le taxi va dormir Il y a des gens qui travaillent qui veulent gagner leur vie Il y a des gens précaires il y   a la misère par ici Joe le taxi tu peux aller au paradis Il y a des gens en enfer ici

Souriez à la vie

Je survole les instants de bonheur Avec légèreté Comme un papillon Qu’ils sont beaux les sourires partagés Regarde-toi dans un miroir En souriant Plus beau tu te trouveras plus brillant Personne n’est laid On est tous beaux Le sourire embellit tous les êtres Souriez à la vie Rien n’est plus important Qu’un sourire  

Et vivre le moment

Se libérer du fardeau du temps Des heures d’attentes vaines Et vivre le moment Se surpasser et sourire Rien ne vaut une larme Se regarder dans un miroir Et s’aimer Aimer son sourire reflété Puis laisser l’espace aux rêves Laisser le bonheur entrer Voilà un sourire rêvé réalisé

Qu’ils sont bons les rêves qu’on crée .

Survolant l’espace avec ton imagination. Rien ne devient stable tout a tendance à bouger.  Tes fragments de pensées bouillonnent .Tes sens s’infiltrent comme de l’eau dans le sable. Ton imagination va créer un autre espace plus propice . L’espace s’agrandit et les personnages varient. Tu peux te surprendre à visualiser un papillon qui vole d’une rose à une autre. Ou tu peux voir une ile lointaine que seul toi à pu atteindre.  L’imagination est inaltérable .Les sources sont multiples .Du fin fond de ta mémoire tu crée du nouveau .Même si tu n’es ni poète ni écrivain… tu imagines et tu crée une vie parallèle à la tienne dans tes moments de solitude ou dans des moments de relaxation . Tu sors du tunnel du réel pour un moment .C’est un rêve éveillé que tu t’offre.  Qu’ils sont bons les rêves qu’on crée .  

Quand l’insomnie nous surprend

Quand l’insomnie nous surprend Allongés sur nos lits On compte les étoiles Et les brebis Rien ne peut faire venir le sommeil Ni une tisane ni un somnifère L’insomnie est là à nous guetter Et dormir devient un supplice Rêver devient un trésor hors d’atteinte Bouger de son lit ou attendre Les paupières sont lourdes de fatigue   La nuit est un interminable tunnel Le sommeil quitte pour de bon Nous laissant réveillés jusqu'au matin