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Sélection du message

Et dans la tourmente… Le cœur bat en tambour… Saccageant dans ses refrains… Le tempo …la cadence … Nulle trêve n’est permise … Aucun recul… Aucune esquive… La guerre du rythme est annoncée… Contre l’ennui des cœurs blessés … Envie de s’enivrer… Envie d’une dance… Envie d’un baiser … D’une transe… En quête de nirvana Ou de volupté … Tout est permis… Même le plus fou… Des libertinages… Quand le cœur a trop souffert… Le corps se permet l’interdit… Dans le jargon des chastes… Dans une recherche ultime … Pour assouvir sa soif… De chair …de plaisirs … Pour retrouver… Garder le sourire … Pour  triompher … Quand les sentiments s’évaporent … Dans les sueurs du mépris… Perlant la face les détails d’un corps … Qui tambourine qui s’exalte pour des instants … Perdant le rythme … La cadence … Le cœur bat en repli… Pour rappeler la raison … Plus de raison avec un corps en révolution … Rim Driss 25/06/2013

: c’est moi la liberté.

Peut   être  j’étais une étoile filante mais  une étoile reste une étoile même quand elle atterrit mourante sur terre elle laisse un cratère si grand et avec ses fragments composés de cristaux rares on peut dater la naissance de l’univers.


J’étais peut être ces quelques gouttes d‘eau qui ont sauvé un corps assoiffé qui était perdu dans le désert cherchant un mirage et après sa survie il continue sa quête.


J’étais peut être un temps de folie ou on se réfugie après un  long séjour en sagesse ou on construit des montagnes, des océans où la réalité se confond avec les rêves ou l’euphorie et  le bonheur se côtoient avec la tristesse.


J’étais peut être des minutes dans le temps d’une mémoire des secondes qu’on isole et qu’on cache oui la mémoire est sélective et parfois tend à  isoler  les espaces trop concentrés de bonheur.


J’étais peut être un rythme dans  la tête d’un musicien qu’il n’arrive pas à s’en défaire et que jour et nuit il le recommence et se retrouve  à composer le même rythme les mêmes sons.


J’étais peut être ce silence ce léger silence qu’on s’offre après avoir longtemps discuté et qu’on savoure et on  protège des nuisances des tourments.


Peut être j’étais cet air frais qu’on respire après avoir longtemps suffoqué entre des murs qu’on crée ou qui sont sensés nous protéger.


Peut être j’étais là à vous appeler chaque jour à vous dire et à répéter de vous échapper des prisons que vous construisez pour vous-même de vous dire décoincez vous laissez tomber les fardeaux que vous mettez sur vos dos et qui vous empêchent de vivre.


Peut être je suis toutes ses petites et grandes choses. Je suis cette voix qui chuchote tout le temps dans vos oreilles et qui vous dit tendez vos bras vers moi et respirez : c’est moi la liberté.

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