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on est née femme en Tunisie on le reste on est née femme en Tunisie on le reste on est née femme en Tunisie on le reste

on est née femme en Tunisie on le reste Est-ce qu’on peut sortir seule la nuit en Tunisie ? Je veux vous parler de moi, moi citoyenne d’une classe moyenne ayant travaillé dans plusieurs boulots depuis l’Age de 28 ans jusqu’à la révolution ou J’ai arrête toute activité professionnelle et je vis désormais aux dépens de ma famille Bref je ne manque de rien lhmdlh Mais je voulais me poser une simple question on parle souvent de la liberté de la femme est qu’elle a eu ses droits en Tunisie  On parle quelle peut enfanter  sans contrat et faire reconnitre au père la légitimité de l’enfant en l’invitant dans un plateau de télé On parle que elle est juge avocate pilote et ingénieur Quelle a même failli atteindre le Nobel en paix oui elle l’a eu ce fameux Nobel une certaine boucha maoui Bon bref madame bouchamawui je pense elle à son chauffeur ses gardes de corps Elle n’a jamais pris un taxi je pense Mais le problème ce n’est pas les taxis je vous signale j’en prends tous les jou...

Poète Rim Driss : C’est quoi être Tunisien

Poète Rim Driss : C’est quoi être Tunisien

A SHARK KILLER

Deja vu sadness

Je dois disparaitre Comme cette signature Que tu effaces Comme cette phrase que tu ne dis pas Je dois disparaitre Comme cette image qui n’apparait plus Et ses instants de lenteur qu’on refoule Je dois disparaitre Comme une langue éteinte Comme Une mode oubliée Je dois disparaitre comme les filaments de lumière La nuit venue Je dois disparaitre de ta vue ………………………………………. I must despair like this great wave I must despair noting behind saved I must despair in the hidden falls And despair in the smooth of calls I must despair like the end of love And despair like the Deja vu sadness I must despair like the moon broken in stars lights And despair like the sun crashes on to the speed Of life Despair like the last garden in the howl night Despair like the shadow that make love Disappear like   the craziness of hanger child   Despair like the greatness and happiness smiles And fall like the increasing tears of dark I must despa...

Ce poème n’est pas féministe vous pouvez changer homme par femme

Il y a des hommes qui restent Parce qu’ils aiment les restes Il y a des hommes qui restent parce qu’ils ont trop Voyagé Et veulent un restaurant pour manger Il y’a des hommes qui restent car ils n’ont pas le choix Il y’a des choix qui font que des hommes restent Il y a des hommes qui restent pour quitter et quittent pour rester Il y a des hommes qui restent tout le temps au diner Il y a des hommes qui souffrent de rester à la fin Et il y a des hommes qui ne restent qu’un matin Il y a des hommes qui restent pour restaurer le passé Il y ‘a des hommes qui restent pour renifler le parfum Et d’autres qui restent pour un alibi Il y’a des hommes qui n’ont pas d’alibi et qui restent Il y’a des restes d’hommes et d’autres qui veulent rester 

La trahison

Quand on est trahi par des inconnus Des passants dans notre vie Des gens qui s’assoient avec nous  Dans le même trajet Dans un voyage limité par le temps Ça ne nous  surprend pas On  connait les dangers des voyages On connait  les trahisons des passagers On se dit  c’est la vie La naïveté a un prix   Mais quand c’est un ami de longue durée Quand c’est un amour de notre vie Quand c’est un proche Quand c’est un compagnon de vie Le désenchantement est parfois Fatidique Il n’y a plus de sagesse après le  choc Les larmes sèchent avant qu’elles tombent Et sans s’en rendre compte On commence  à se méfier De tout le monde

Pour les victimes de l'attentat terroriste au Musée du Bardo

Zeus dieu des dieux bon dieu Tu as bien vu du sang couler Sous tes pieds Venus déesse de l’amour N’a rien pu empêcher Apollon dieu des arts s’affolait Regardait hébété Athéna déesse de la sagesse Ou étaient dirigées  tes pensées Hermès messager des dieux Passe leurs nos adieux Dis leur  ils n’existent plus  Les dieux se sont évanouis à jamais Avec leurs olympes Vingt-deux morts gisent Sacrifiés On compte les victimes Les blessés Pourquoi à ce sort ils étaient Destinés J’ai honte de m’adresser A des dieux  Qui n’existent plus Bon dieu  pourquoi ils étaient sacrifiés ? Arès dieu de la guerre déjà me foudroie Je reste sans voix Je me mords les doigts Je me ronge les ongles Je me tourne je me demande Pourquoi j’ai donné Dans cette urne  ma voix