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Ces gens là ne méritent pas un rêve heureux

tout dort maintenant il y  a  des anges qui veillent sur  les sommeils des anges doux il  y a des gens qui rêvent un rêve  comme uns soleil de printemps il y a des gens qui crèvent dans des cauchemars qui agonisent à chaque sommeil il  n'y a pas de rêve heureux il  y a des anges qui veillent sur les printemps des gens heureux et puis il y a ceux qui crèvent d'un cauchemar à chaque instant on dirait qu'il n'auront plus de trêve ces gens là ne méritent pas un rêve heureux

Cette page est un tourment

Tu sais sur cette page blanche Il n’y avait rien Il n’y avait que le silence Un sentiment de lassitude Enfin la blancheur d’une page C’est une solitude Pourquoi la remplir Pourquoi ôter sa blancheur Et la faire maquiller De couleur Pourquoi choisir les mots Qui ont des résonances Pourquoi Ne pas choisir le silence Cette page  elle m’attire Comme si j’étais  hypnotisée J’y reviens toujours Je l’entends me supplier Pour la remplir Son âme est mon âme Son vide est mon vide Son silence est le mien J’y retourne sans savoir comment Tu sais cette page cette blancheur Est un tourment

Je m’inquiète pour l’humanité

Un  vent d’extrémisme  se répand sur le monde. D’abord l’extrémisme religieux et les attentats qui se répandent dans le monde .Ensuite  les discours haineux pour les minorités .enfin les campagnes électorales dans le monde et les partis qui montrent le nez en se basant sur des discours haineux. Le peuple qui suit aveuglé par peur ou parce qu’il ne saisit pas que pour se protéger  il faut un espace de tolérance avant tout et non de racisme et de rejet d’autrui. Après avoir connu les guerres qui ont vu l’extrémisme monter et l’acharnement d’exterminer .Ces guerres ont commencé par des discours semblables à ceux qu’on entend aujourd’hui .Ils ont commencé par des propagandes ou on exclu tout ce qui est différent de nous. Fallait-il montrer aux électeurs qui vont voter les images et le discours qui s’est répandu  dans ce temps. Moi je me considère comme une citoyenne tunisienne. Mais aussi une citoyenne du monde. J’ai peur pour moi et pour les génér...

S’il n’y a plus de miroir

S’il n’y a plus de miroir Pour se contempler le matin Ou faire surgir un sourire Pour avoir l’air de quelqu’un S’il n’y a plus de miroir Pour cacher le comble de fausseté Ou faire réagir une grimace Qui inonde la face de gaieté S’il n’y a plus de miroir Pour se regarder mentir Et refaire la scène Tout le long d’une vie S’il n’y avait pas de miroir Pour succomber à son reflet Et se métamorphoser Au gré de lumière Si chacun de nous N’a plus de miroir Et qu’on se voit enfin Jugé Par les regards S’il n' y a plus de miroir Que reflétera les yeux des autres? A qui parler dans le silence? Ce n’est qu’un miroir ... Qui nous dit plus la vérité ? Un miroir ou notre visage Dans les yeux  reflété ...

Le temps d’un sourire

Des abimes ou tombent Nos déroutes Dans les puits profonds Ou s’incrustent         Nos doutes Dans les ténèbres des vents Ou s’évadent nos émois Entre les cruautés des départs Et les souffrances Des absences Quand pour partir on déballe nos larmes Et pour revenir on encaisse nos vacarmes Les nuisances  du temps n’ont d’effet Que d’accroitre Nos soupçons Et le temps qui passe sous nos yeux voleur De nos certitudes Rien n’est sure Rien N’est pure Rien N’est juste Que le temps d’un sourire

Je suis poète et je le resterais.

Et dans les flots des mots Surgissent  des vagues… Autour des verbes s’élancent Des phrases… Au coin d’une voyelle Se courbe un refrain… Pour être applaudi par des syllabes. Dans les métaphores se cherchent Des sens… Qu’on sublime et qu’on Vénère Et dans le chemin se trouve des rimes Qui offrent les sons Et le tempo… Pour une dance céleste Que seul un poète  peut connaitre Lui seul et ses mots Semés par  les idées Quand l’âme  a soif S’enivrer des verbes Est une aubaine Je suis poète Et je le resterais. Les mots mes compagnons  Et le rythme Mon destin. Les âmes des feuilles blanches me  réclament Sans cesse Que je ne peux qu’offrir Ma plume  et ma voix

Toutes les fautes sont admises Sauf l’intolérance

Et dans le tumultueux temps  de l’insouciance Le temps des promesses qu’on donne à  la vie Dans la gratitude qu’on a car tout  nous souri Dans les moments de joie De rien faire Ou de faire n’importe quoi Dans les heures qui nous filent entre les mains Et  l’amour qu’on porte en nous pour toute l’humanité Sans se soucier des couleurs …des langues Dans ce temps de l’enfance Où tout peut nous surprendre Ou les mots non qu’un seul sens Ou les flots des expériences Nous apprennent chaque jour à se méfier On gravit les âges mais on ne revient jamais comme au  départ Là Dans ce temps d’insouciance Ou  toutes les fautes sont admises Sauf l’intolérance